Trois femmes d’origines différentes vont être reliées par leurs cheveux comme trois brins qui forment une tresse.
Trois histoires qui s’entrelacent sans pathos, mais infiniment touchant.
En Inde, en Sicile ou au Canada, la condition des femmes reste un combat de tous les instants quelle que soit la société dans laquelle on évolue.
Un très beau roman à lire absolument.
Sylvie
Agrément N° 562670836
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D’autres dont la calvitie est déjà prononcée ou amorcée se refusent d’y penser car ils assimilent (faussement) le terme de dermofusion comme une technique, allez savoir pourquoi d’autant plus que les posts et autres reportages sur Youtube le démontrent clairement, faisant appel à une source de chaleur et donc une possible douleur… Peut-être confondent-ils le terme « dermo » et le terme « thermo »…
Si j’ai accepté de témoigner pour le salon de coiffure de Zaïna, c’est que je suis porteur d’un complément capillaire depuis 2019 et j’espère que par mes mots ceux qui critiquent ce procédé et ceux qui y pense sans oser franchir le pas comprendront enfin ce qu’est ce principe et, selon les avis, auront envie, eux aussi, non plus d’oser mais tout simplement le plébisciter.
Il y a trois ans maintenant et en l’espace de quelques heures, je me suis retrouvé d’un bandeau de cheveux naturels laissant l’intégralité de la partie supérieure de mon crâne totalement chauve à une chevelure massive, fluide. Ce cap que j’ai décidé de franchir ne s’est pas fait, sans un jeu de mot trop facile, sur un « coup de tête ». J’ai dans un premier temps étudié ce qu’était ce processus, lu les avis, pris en compte les conseils à appliquer, les questions à demander… Une fois que j’ai estimé être suffisamment informé, j’ai pris rendez-vous… Quelques heures plus tard, je me suis rendu compte que ce rendez-vous marquait un nouveau rendez-vous dans ma vie tant la transformation était impressionnante !
Il aurait été simple de s’arrêter à une simple et nouvelle apparence dans le miroir, en se regardant… Pour ma part, j’ai toujours gardé à l’esprit que ce qui était désormais au-dessus de mon crâne n’était pas à moi mais désormais en moi, le complément faisant partie intégrante de l’image que je donnais à mon entourage. C’est sans doute cet état d’esprit qui m’a permis de faire taire les moqueries, les devançant avant qu’elles ne s’enveniment. Cette attitude a encouragé les détracteurs d’autre fois à s’intéresser à la technique et non à la critiquer, la majorité même me reconnaissant qu’avec cet artifice visible, j’avais gagné quelques années ou que je ne faisais plus mon âge.
Si je précisais au début de mon témoignage qu’il faut, là encore sans jeux de mots, « démêler » le vrai du faux, c’est qu’en termes de « faux » justement, il faut aussi bien choisir son conseiller en prothèse capillaire. Là encore, je ne peux que vous faire partager mon expérience : une première plutôt catastrophique due à un très mauvais choix de colle dermatologique qui a fait pivoter le complément le surlendemain ; une seconde où le choix de ciseaux inadaptés, malgré une confiance qui avait su s’installer au fil des rendez-vous mensuels, a finalement et définitivement détérioré le complément. Persuadé qu’il existait forcément un spécialiste qui sait ce qu’il fait et qui le fait bien, je suis entré en contact avec Zaïna. Après un premier entretien pour qu’elle puisse comprendre ce que j’avais connu, je que j’attendais, elle a étudié avec professionnalisme mon cas et m’a proposé une solution. Depuis 5 mois à présent, je ne peux que me féliciter de cette rencontre tant l’attention et la bienveillance sont toujours présentes lors de nos rendez-vous. J’y trouve au sein de ce salon un moment de bien-être où l’on prend soin de mon crâne (massage, soin aux argiles naturel, traitement de mon complément avant la nouvelle pose), où on me comprend et où on me guide, où on me procure des conseils et des astuces.
J’espère sincèrement que ce témoignage permettra de faire comprendre à ceux qui hésitent encore que le complément capillaire est aujourd’hui une solution beaucoup moins onéreuse qu’une greffe, moins douloureuse (car le complément, je le répète, ne génère aucune sensation de douleur) et surtout qu’elle offre la garantie d’obtenir en quelques heures une chevelure, sans avoir à attendre de très longs mois. Si mes mots peuvent les inciter à, eux aussi, franchir le pas, je leur rappelle qu’en étant sur ce site, ils sont déjà sur le bon chemin… Quant aux détracteurs qui resteront campés dans leurs points de vue moqueurs, je les rappelle que le complément capillaire n’est ni plus ni moins qu’un accessoire, au même titre qu’un bonnet ou du maquillage : viendraient-ils critiquer ces deux autres artifices et pour ne citer qu’eu ? En tous les cas, je les laisse volontiers dans leur incompréhension car de mon côté j’ai compris (et définitivement compris même) tout ce que Zaïna a pu et su m’apporter de bon avec ses recommandations et qui me rend désormais très heureux d’être, à nouveau, un « homme avec des cheveux » !.